Türkİye
Turquie: Trois ans de lutte contre le groupe terroriste FETO
- Lors de la tentative de coup d’Etat du 15 juillet 2016, 251 citoyens turcs ont été tués et plus de 2000 autres blessés
Dilara Hamit |
15.07.2019 - Mıse À Jour : 17.07.2019
Ankara
AA - Ankara
Depuis la tentative meurtrière de coup d'État par FETO en 2016, la Turquie a mené une lutte active contre l'organisation terroriste aussi bien dans le pays qu’à l'étranger.
Le coup d'État repoussé du 15 juillet 2016, attentat terroriste odieux qui demeure le plus meurtrier que le pays ait jamais connu, a révélé la gravité de la menace que représente l'organisation terroriste FETO pour la Turquie.
Lors des tragiques événements du 15 juillet 2016, 251 citoyens turcs ont été tués et plus de 2000 personnes ont été blessées.
Au cours de la tentative de coup d'État, le peuple turc, qui s'est dressé contre la menace, a démontré avec ferveur et courage au monde entier qu'il ne reconnaissait aucun pouvoir sur sa volonté et qu'il était prêt à sacrifier sa vie pour protéger son État et système démocratique.
La tentative de coup d'État a révélé le sombre réseau établi au sein même des écoles de l’organisation FETO, au cours des dernières décennies.
Sous couvert de soi-disant activités de formation, c’est un véritable lavage de cerveau qu’ont subi les enfants dans les établissements scolaires de l’organisation. Les adeptes radicaux y ont exécuté les instructions de l'organisation et violé toutes les normes légales et morales.
Le groupe FETO a renforcé son influence économique et politique en abusant des ressources et de l'autorité de l'État pour les intérêts ignobles de l'organisation, mais le 15 juillet, la Turquie a pu saisir la dimension de la structure secrète établie par le groupe FETO au sein de ses institutions ainsi que dans les forces armées turques.
Au cours des trois dernières années, la Turquie, dans le respect des lois en vigueur, a traduit en justice les auteurs de la tentative de coup d'État.
La structure organisationnelle de FETO au sein des institutions gouvernementales a été dévoilée, et des procédures administratives et judiciaires ont été engagées contre ses membres, ainsi la structure parallèle de l'État a été démantelée.
Les tentatives visant à étendre l'organisation terroriste à tous les secteurs de l'économie par l'intermédiaire de ses entités écrans, en particulier dans les secteurs de l'éducation, des médias et des banques, ont été rejetées.
Les trois principaux objectifs que la Turquie tente de mener pour sa lutte contre FETO sont de démontrer et de prouver le fait que l’organisation représente une menace pour la sécurité d'autres pays où elle reste active.
La Turquie limite également les dispositions de FETO à l'étranger pour empêcher ses membres de transférer de l'argent et d'échapper à la justice.
Enfin, la Fondation Maarif, que la Turquie a créée en 2016 afin de prendre en charge l'administration d'écoles étrangères liées à FETO, maintient ses activités dans le monde entier afin d'éviter tout manque à gagner résultant des mesures prises contre FETO, particulièrement dans le domaine de l'éducation.
L'organisation, qui a perdu son épine dorsale en Turquie, tente maintenant de survivre en faisant usage de ses structures situées à l'étranger.
La lutte contre ces structures à l'étranger a été l'une des principales priorités du ministère turc des Affaires étrangères.
Au fil des ans, la communauté internationale comprend progressivement que FETO n'est pas un mouvement social qui s'est engagé dans l'éducation et la charité, contrairement à la manière dont elle tente de se dépeindre, mais plutôt une organisation sombre et insidieuse avec des ambitions économiques.
Le groupe FETO a été déclaré organisation terroriste par divers pays et organisations internationales. Lors de sa 43e session des ministres des Affaires étrangères du Conseil, l'Organisation des ministres des Affaires étrangères a déclaré que FETO était une organisation terroriste.
La République turque de Chypre-Nord et la Cour suprême du Pakistan ont également déclaré FETO comme étant une organisation terroriste, lors du verdict rendu le 28 décembre 2018.
Le nombre de membres de FETO qui tentent d'échapper aux pays dans lesquels ils sont actifs a augmenté, en particulier en Afrique, ainsi qu'en Turquie.
L'organisation s'efforce toujours de se placer comme étant les victimes d’une persécution organisée et ce, en recourant à la publication d’articles non fondés via leurs médias existants.
Elle tente également de renforcer la coopération avec les groupes hostiles à la Turquie par l’intermédiaire de relations publiques et de méthodes de lobbying.
La Turquie s’est engagée pleinement dans une lutte à long terme afin d’éliminer les structures FETO à l'étranger.
L’organisation FETO et son leader Fetullah Gulen, basé aux États-Unis, ont orchestré la tentative de coup d'État du 15 juillet 2016, qui a fait 251 morts et près de 2 200 blessés.
Ankara accuse également l’organisation FETO d'être à l'origine d'une longue campagne visant à renverser l'État par l'infiltration d'institutions turques, en particulier l'armée, la police et le système judiciaire.
Seulement une partie des dépêches, que l'Agence Anadolu diffuse à ses abonnés via le Système de Diffusion interne (HAS), est diffusée sur le site de l'AA, de manière résumée. Contactez-nous s'il vous plaît pour vous abonner.
Le coup d'État repoussé du 15 juillet 2016, attentat terroriste odieux qui demeure le plus meurtrier que le pays ait jamais connu, a révélé la gravité de la menace que représente l'organisation terroriste FETO pour la Turquie.
Lors des tragiques événements du 15 juillet 2016, 251 citoyens turcs ont été tués et plus de 2000 personnes ont été blessées.
Au cours de la tentative de coup d'État, le peuple turc, qui s'est dressé contre la menace, a démontré avec ferveur et courage au monde entier qu'il ne reconnaissait aucun pouvoir sur sa volonté et qu'il était prêt à sacrifier sa vie pour protéger son État et système démocratique.
La tentative de coup d'État a révélé le sombre réseau établi au sein même des écoles de l’organisation FETO, au cours des dernières décennies.
Sous couvert de soi-disant activités de formation, c’est un véritable lavage de cerveau qu’ont subi les enfants dans les établissements scolaires de l’organisation. Les adeptes radicaux y ont exécuté les instructions de l'organisation et violé toutes les normes légales et morales.
Le groupe FETO a renforcé son influence économique et politique en abusant des ressources et de l'autorité de l'État pour les intérêts ignobles de l'organisation, mais le 15 juillet, la Turquie a pu saisir la dimension de la structure secrète établie par le groupe FETO au sein de ses institutions ainsi que dans les forces armées turques.
Au cours des trois dernières années, la Turquie, dans le respect des lois en vigueur, a traduit en justice les auteurs de la tentative de coup d'État.
La structure organisationnelle de FETO au sein des institutions gouvernementales a été dévoilée, et des procédures administratives et judiciaires ont été engagées contre ses membres, ainsi la structure parallèle de l'État a été démantelée.
Les tentatives visant à étendre l'organisation terroriste à tous les secteurs de l'économie par l'intermédiaire de ses entités écrans, en particulier dans les secteurs de l'éducation, des médias et des banques, ont été rejetées.
Les trois principaux objectifs que la Turquie tente de mener pour sa lutte contre FETO sont de démontrer et de prouver le fait que l’organisation représente une menace pour la sécurité d'autres pays où elle reste active.
La Turquie limite également les dispositions de FETO à l'étranger pour empêcher ses membres de transférer de l'argent et d'échapper à la justice.
Enfin, la Fondation Maarif, que la Turquie a créée en 2016 afin de prendre en charge l'administration d'écoles étrangères liées à FETO, maintient ses activités dans le monde entier afin d'éviter tout manque à gagner résultant des mesures prises contre FETO, particulièrement dans le domaine de l'éducation.
L'organisation, qui a perdu son épine dorsale en Turquie, tente maintenant de survivre en faisant usage de ses structures situées à l'étranger.
La lutte contre ces structures à l'étranger a été l'une des principales priorités du ministère turc des Affaires étrangères.
Au fil des ans, la communauté internationale comprend progressivement que FETO n'est pas un mouvement social qui s'est engagé dans l'éducation et la charité, contrairement à la manière dont elle tente de se dépeindre, mais plutôt une organisation sombre et insidieuse avec des ambitions économiques.
Le groupe FETO a été déclaré organisation terroriste par divers pays et organisations internationales. Lors de sa 43e session des ministres des Affaires étrangères du Conseil, l'Organisation des ministres des Affaires étrangères a déclaré que FETO était une organisation terroriste.
La République turque de Chypre-Nord et la Cour suprême du Pakistan ont également déclaré FETO comme étant une organisation terroriste, lors du verdict rendu le 28 décembre 2018.
Le nombre de membres de FETO qui tentent d'échapper aux pays dans lesquels ils sont actifs a augmenté, en particulier en Afrique, ainsi qu'en Turquie.
L'organisation s'efforce toujours de se placer comme étant les victimes d’une persécution organisée et ce, en recourant à la publication d’articles non fondés via leurs médias existants.
Elle tente également de renforcer la coopération avec les groupes hostiles à la Turquie par l’intermédiaire de relations publiques et de méthodes de lobbying.
La Turquie s’est engagée pleinement dans une lutte à long terme afin d’éliminer les structures FETO à l'étranger.
L’organisation FETO et son leader Fetullah Gulen, basé aux États-Unis, ont orchestré la tentative de coup d'État du 15 juillet 2016, qui a fait 251 morts et près de 2 200 blessés.
Ankara accuse également l’organisation FETO d'être à l'origine d'une longue campagne visant à renverser l'État par l'infiltration d'institutions turques, en particulier l'armée, la police et le système judiciaire.
