"Celui qui investit à Istanbul ne sera pas perdant" (Fond d'investissement qatari)
La société Mazaya Qatar et la société turque Global Menkul Degerler ont signé un accord de coopération stratégique pour la création d'un fond d'investissements pour des projets immobiliers en Turquie à hauteur de 250 millions de dollars US.

Istanbul
AA - Istanbul
Selon Hamad al-Hedfa, Président de Mazaya Qatar, un des plus important fond d’investissements immobiliers du pays, «il n’est pas possible de perdre de l’argent en investissant à Istanbul ».
Al-Hedfa s’est exprimé à l’Agence Anadolu, après la signature d’un accord de coopération stratégique entre sa société Mazaya Qatar et la société turque Global Menkul Degerler pour la création d'un fond d'investissements pour des projets immobiliers en Turquie à hauteur de 250 millions de dollars US.
«Il est impossible qu’un investisseur qui met de l’argent dans l’immobilier à Istanbul soit perdant, a-t-il affirmé. Parce qu’il n’y a qu’une seule Istanbul. A moyen et long termes, il sera forcément gagnant.»
Selon al-Hedfa, Istanbul est toujours plus attractive que nombre d'autres métropoles européennes, et les prix de l’immobilier y sont encore bien plus bas.
«Le développement du secteur de l’immobilier en Turquie, ces dix dernières années est fabuleux. Nous pensons que ces atouts et ces opportunités vont se poursuivre à moyens et longs termes. C’est pourquoi nous avons décidé d’investir en Turquie», a-t-il expliqué.
Pour l’Homme d’affaires qatari, la Turquie est un marché sûr, très apprécié par le Qatar.
«Les pays de la région s’orientent sérieusement vers le marché de l’immobilier en Turquie, c’est pourquoi former de tels fonds d’investissements peut attirer les clients», a-t-il encore dit.
Pour sa part, Erol Goker, président de Global Menkul Degerler, a indiqué que la Turquie n’avait pas su pendant de longues années créer un pont avec les capitaux et l’argent à travers le monde.
«Nous commençons seulement à présenter nos opportunités aux investisseurs étrangers, a-t-il affirmé. L’inexistence de fonds d’investissements en Turquie était un sérieux frein.»
«Avec cet accord, nous espérons faire entrer les fonds internationaux en Turquie en proposant le canal le plus sûr. Il existe un très grand intérêt pour notre pays, mais les investisseurs étrangers ne savaient pas comment faire. Ces canaux sont désormais ouverts», a-t-il expliqué.
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