AA - Ankara - Hamza Gedikoğlu - Lorène Barillot
Le Parti Socialiste (PS), au pouvoir, et ses listes d’alliance ont obtenu 43% des voix au niveau national, et recule de 5% par rapport aux élections municipales de 2008, lors du premier tour des élections municipales en France, le 23 mars.
Le principal parti de droite français, l'Union pour un Mouvement Populaire (UMP), et ses alliés centristes, progresse en obtenant 48% des voix au niveau national.
Le Front National (FN), parti d’extrême droite, en obtenant 7% des suffrages exprimés et en terminant en première place dans certaines villes, prend une place clé pour le second tour.
À Paris, la candidate UMP Nathalie Kosciusko-Morizet, en obtenant près de 35,5% des suffrages exprimés, devance pour le moment la candidate PS, Anne Hidalgo, qui a elle gagné 34,5% des voix.
A Marseille, Patrick Mennucci (PS) arrive très loin derrière le candidat de l’UMP Jean-Claude Gaudin.
Par ailleurs, à Bordeaux, Alain Juppé (UMP) a été réélu dès le premier tour.
À Lyon, le FN a fait une percée au scrutin (environ 13.5%), mais le maire socialiste sortant, Gérard Collomb (46%) est loin devant l’UMP (22%).
L'abstention, de son côté, a de nouveau progressé pour atteindre un niveau jamais vu pour ce type d'élection : plus de 35% des électeurs inscrits n’ont pas voté.
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