Le train du Liban: Mettre le projet pour faire revivre l'ère ottomane sur les rails de la nostalgie
25.03.2021

Il y a 125 ans, une décision ottomane mettait le premier train du Liban en partance de Beyrouth vers Damas sur les rails, et grâce à cette ligne, la capitale libanaise est devenue un important centre économique et commercial de la région, d’où le surnom de « Porte de l'Est » donné au pays. Aujourd'hui, les roues du train se sont arrêtées, et la ville de Beyrouth meurtrie, souffre toujours face à une réalité économique qui l’a épuisée. Au milieu de ce chaos, des ambitions renouvelées ont percé pour relancer le projet et restaurer son rôle pionnier et historique de Beyrouth en tant que l’une des capitales les plus importantes de la région. ( Mahmut Geldi - Anadolu Ajansı )

Le train du Liban: Mettre le projet pour faire revivre l'ère ottomane sur les rails de la nostalgie
Fotoğraf: Mahmut Geldi

Il y a 125 ans, une décision ottomane mettait le premier train du Liban en partance de Beyrouth vers Damas sur les rails, et grâce à cette ligne, la capitale libanaise est devenue un important centre économique et commercial de la région, d’où le surnom de « Porte de l'Est » donné au pays. Aujourd'hui, les roues du train se sont arrêtées, et la ville de Beyrouth meurtrie, souffre toujours face à une réalité économique qui l’a épuisée. Au milieu de ce chaos, des ambitions renouvelées ont percé pour relancer le projet et restaurer son rôle pionnier et historique de Beyrouth en tant que l’une des capitales les plus importantes de la région. ( Mahmut Geldi - Anadolu Ajansı )

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Fotoğraf: Mahmut Geldi

Il y a 125 ans, une décision ottomane mettait le premier train du Liban en partance de Beyrouth vers Damas sur les rails, et grâce à cette ligne, la capitale libanaise est devenue un important centre économique et commercial de la région, d’où le surnom de « Porte de l'Est » donné au pays. Aujourd'hui, les roues du train se sont arrêtées, et la ville de Beyrouth meurtrie, souffre toujours face à une réalité économique qui l’a épuisée. Au milieu de ce chaos, des ambitions renouvelées ont percé pour relancer le projet et restaurer son rôle pionnier et historique de Beyrouth en tant que l’une des capitales les plus importantes de la région. ( Mahmut Geldi - Anadolu Ajansı )

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Fotoğraf: Mahmut Geldi

Il y a 125 ans, une décision ottomane mettait le premier train du Liban en partance de Beyrouth vers Damas sur les rails, et grâce à cette ligne, la capitale libanaise est devenue un important centre économique et commercial de la région, d’où le surnom de « Porte de l'Est » donné au pays. Aujourd'hui, les roues du train se sont arrêtées, et la ville de Beyrouth meurtrie, souffre toujours face à une réalité économique qui l’a épuisée. Au milieu de ce chaos, des ambitions renouvelées ont percé pour relancer le projet et restaurer son rôle pionnier et historique de Beyrouth en tant que l’une des capitales les plus importantes de la région. ( Mahmut Geldi - Anadolu Ajansı )

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Fotoğraf: Mahmut Geldi

Il y a 125 ans, une décision ottomane mettait le premier train du Liban en partance de Beyrouth vers Damas sur les rails, et grâce à cette ligne, la capitale libanaise est devenue un important centre économique et commercial de la région, d’où le surnom de « Porte de l'Est » donné au pays. Aujourd'hui, les roues du train se sont arrêtées, et la ville de Beyrouth meurtrie, souffre toujours face à une réalité économique qui l’a épuisée. Au milieu de ce chaos, des ambitions renouvelées ont percé pour relancer le projet et restaurer son rôle pionnier et historique de Beyrouth en tant que l’une des capitales les plus importantes de la région. ( Mahmut Geldi - Anadolu Ajansı )

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Il y a 125 ans, une décision ottomane mettait le premier train du Liban en partance de Beyrouth vers Damas sur les rails, et grâce à cette ligne, la capitale libanaise est devenue un important centre économique et commercial de la région, d’où le surnom de « Porte de l'Est » donné au pays. Aujourd'hui, les roues du train se sont arrêtées, et la ville de Beyrouth meurtrie, souffre toujours face à une réalité économique qui l’a épuisée. Au milieu de ce chaos, des ambitions renouvelées ont percé pour relancer le projet et restaurer son rôle pionnier et historique de Beyrouth en tant que l’une des capitales les plus importantes de la région. ( Mahmut Geldi - Anadolu Ajansı )

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Il y a 125 ans, une décision ottomane mettait le premier train du Liban en partance de Beyrouth vers Damas sur les rails, et grâce à cette ligne, la capitale libanaise est devenue un important centre économique et commercial de la région, d’où le surnom de « Porte de l'Est » donné au pays. Aujourd'hui, les roues du train se sont arrêtées, et la ville de Beyrouth meurtrie, souffre toujours face à une réalité économique qui l’a épuisée. Au milieu de ce chaos, des ambitions renouvelées ont percé pour relancer le projet et restaurer son rôle pionnier et historique de Beyrouth en tant que l’une des capitales les plus importantes de la région. ( Mahmut Geldi - Anadolu Ajansı )

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Il y a 125 ans, une décision ottomane mettait le premier train du Liban en partance de Beyrouth vers Damas sur les rails, et grâce à cette ligne, la capitale libanaise est devenue un important centre économique et commercial de la région, d’où le surnom de « Porte de l'Est » donné au pays. Aujourd'hui, les roues du train se sont arrêtées, et la ville de Beyrouth meurtrie, souffre toujours face à une réalité économique qui l’a épuisée. Au milieu de ce chaos, des ambitions renouvelées ont percé pour relancer le projet et restaurer son rôle pionnier et historique de Beyrouth en tant que l’une des capitales les plus importantes de la région. ( Mahmut Geldi - Anadolu Ajansı )

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Il y a 125 ans, une décision ottomane mettait le premier train du Liban en partance de Beyrouth vers Damas sur les rails, et grâce à cette ligne, la capitale libanaise est devenue un important centre économique et commercial de la région, d’où le surnom de « Porte de l'Est » donné au pays. Aujourd'hui, les roues du train se sont arrêtées, et la ville de Beyrouth meurtrie, souffre toujours face à une réalité économique qui l’a épuisée. Au milieu de ce chaos, des ambitions renouvelées ont percé pour relancer le projet et restaurer son rôle pionnier et historique de Beyrouth en tant que l’une des capitales les plus importantes de la région. ( Mahmut Geldi - Anadolu Ajansı )

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