A partir du mois de mars, les cigognes s’installent dans les nids douillés qu’elles ont fabriquées au sommet des poteaux électriques le long du fleuve Tigre à Diyarbakir. L’écosystème et l’abondance de la nourriture rends cette région propice à la reproduction des cigognes. A l’approche de l’hiver, vers septembre, elles migrent vers l’Afrique avec leurs petits. ( Ömer Yasin Ergin - Anadolu Ajansı )
A partir du mois de mars, les cigognes s’installent dans les nids douillés qu’elles ont fabriquées au sommet des poteaux électriques le long du fleuve Tigre à Diyarbakir. L’écosystème et l’abondance de la nourriture rends cette région propice à la reproduction des cigognes. A l’approche de l’hiver, vers septembre, elles migrent vers l’Afrique avec leurs petits. ( Ömer Yasin Ergin - Anadolu Ajansı )
A partir du mois de mars, les cigognes s’installent dans les nids douillés qu’elles ont fabriquées au sommet des poteaux électriques le long du fleuve Tigre à Diyarbakir. L’écosystème et l’abondance de la nourriture rends cette région propice à la reproduction des cigognes. A l’approche de l’hiver, vers septembre, elles migrent vers l’Afrique avec leurs petits. ( Ömer Yasin Ergin - Anadolu Ajansı )
A partir du mois de mars, les cigognes s’installent dans les nids douillés qu’elles ont fabriquées au sommet des poteaux électriques le long du fleuve Tigre à Diyarbakir. L’écosystème et l’abondance de la nourriture rends cette région propice à la reproduction des cigognes. A l’approche de l’hiver, vers septembre, elles migrent vers l’Afrique avec leurs petits. ( Ömer Yasin Ergin - Anadolu Ajansı )
A partir du mois de mars, les cigognes s’installent dans les nids douillés qu’elles ont fabriquées au sommet des poteaux électriques le long du fleuve Tigre à Diyarbakir. L’écosystème et l’abondance de la nourriture rends cette région propice à la reproduction des cigognes. A l’approche de l’hiver, vers septembre, elles migrent vers l’Afrique avec leurs petits. ( Ömer Yasin Ergin - Anadolu Ajansı )
A partir du mois de mars, les cigognes s’installent dans les nids douillés qu’elles ont fabriquées au sommet des poteaux électriques le long du fleuve Tigre à Diyarbakir. L’écosystème et l’abondance de la nourriture rends cette région propice à la reproduction des cigognes. A l’approche de l’hiver, vers septembre, elles migrent vers l’Afrique avec leurs petits. ( Ömer Yasin Ergin - Anadolu Ajansı )
A partir du mois de mars, les cigognes s’installent dans les nids douillés qu’elles ont fabriquées au sommet des poteaux électriques le long du fleuve Tigre à Diyarbakir. L’écosystème et l’abondance de la nourriture rends cette région propice à la reproduction des cigognes. A l’approche de l’hiver, vers septembre, elles migrent vers l’Afrique avec leurs petits. ( Ömer Yasin Ergin - Anadolu Ajansı )
A partir du mois de mars, les cigognes s’installent dans les nids douillés qu’elles ont fabriquées au sommet des poteaux électriques le long du fleuve Tigre à Diyarbakir. L’écosystème et l’abondance de la nourriture rends cette région propice à la reproduction des cigognes. A l’approche de l’hiver, vers septembre, elles migrent vers l’Afrique avec leurs petits. ( Ömer Yasin Ergin - Anadolu Ajansı )
A partir du mois de mars, les cigognes s’installent dans les nids douillés qu’elles ont fabriquées au sommet des poteaux électriques le long du fleuve Tigre à Diyarbakir. L’écosystème et l’abondance de la nourriture rends cette région propice à la reproduction des cigognes. A l’approche de l’hiver, vers septembre, elles migrent vers l’Afrique avec leurs petits. ( Ömer Yasin Ergin - Anadolu Ajansı )
A partir du mois de mars, les cigognes s’installent dans les nids douillés qu’elles ont fabriquées au sommet des poteaux électriques le long du fleuve Tigre à Diyarbakir. L’écosystème et l’abondance de la nourriture rends cette région propice à la reproduction des cigognes. A l’approche de l’hiver, vers septembre, elles migrent vers l’Afrique avec leurs petits. ( Ömer Yasin Ergin - Anadolu Ajansı )
A partir du mois de mars, les cigognes s’installent dans les nids douillés qu’elles ont fabriquées au sommet des poteaux électriques le long du fleuve Tigre à Diyarbakir. L’écosystème et l’abondance de la nourriture rends cette région propice à la reproduction des cigognes. A l’approche de l’hiver, vers septembre, elles migrent vers l’Afrique avec leurs petits. ( Ömer Yasin Ergin - Anadolu Ajansı )
A partir du mois de mars, les cigognes s’installent dans les nids douillés qu’elles ont fabriquées au sommet des poteaux électriques le long du fleuve Tigre à Diyarbakir. L’écosystème et l’abondance de la nourriture rends cette région propice à la reproduction des cigognes. A l’approche de l’hiver, vers septembre, elles migrent vers l’Afrique avec leurs petits. ( Ömer Yasin Ergin - Anadolu Ajansı )
A partir du mois de mars, les cigognes s’installent dans les nids douillés qu’elles ont fabriquées au sommet des poteaux électriques le long du fleuve Tigre à Diyarbakir. L’écosystème et l’abondance de la nourriture rends cette région propice à la reproduction des cigognes. A l’approche de l’hiver, vers septembre, elles migrent vers l’Afrique avec leurs petits. ( Ömer Yasin Ergin - Anadolu Ajansı )
A la Une
Des photos accrocheuses de tous les horizons de la Turquie et du monde sur notre compte Instagram. Suivez-nous sur instagram.
