AA / Tunis

Plus de 300 stations de services à travers la France ont été en rupture totale de stock, lundi soir. D'autres stations finiront par fermer si la crise persiste, ont averti des médias français, mardi.

Cette rupture s’explique par les blocages, par des « gilets jaunes », de plusieurs dépôts de carburant, dont celui de Brest (nord-ouest), par exemple, ce qui a perturbé l’approvisionnement.

« À Concarneau (nord-ouest), les files d'attente s'allongent et la préfecture a pris des mesures de restriction : à 30 euros, la pompe s'arrête », a rapporté franceinfotv, lundi soir.

Selon un reportage diffusé par BFMTV, mardi matin, de longues files d’attentes pouvant aller jusqu’à une heure d’attente sont déjà perceptibles devant plusieurs stations services.

La chaîne d’information en continue a prévenu que d’autres stations seront en rupture de stock de carburant, mardi, si les blocages persistent.

Conséquences : un grand nombre de français ne peuvent plus se déplacer en voiture. Et les incidences économiques pourraient être encore plus importantes.