
AA / Addis-Abeba / Orhan karsli
La femme éthiopienne évolue et travaille dans plusieurs domaines, y compris ceux qui peuvent paraître accaparés par les hommes, tels que la maçonnerie, afin de contribuer à augmenter les revenus de sa famille, et ce dans un pays où les opportunités d’embauche sont minimes dans certains secteurs.
La femme éthiopienne est souvent aperçue dans la capitale Addis-Abeba travailler dans la construction et le bâtiment, l’asphaltage et le bitumage des routes ainsi que dans les parkings des voitures, de même qu’en tant qu’éboueuse ainsi que dans d’autres métiers, où l’accès est même parfois difficile pour la gente masculine.
La femme éthiopienne tente à travers ce déploiement d’énergie et de temps, de contribuer à élever les revenus de sa famille et de subvenir ainsi aux besoins de ses proches, en recevant 5 à 10 dollars US par jour.
L’éboueuse Wgagan, âgée de 31 ans, a déclaré au correspondant d’Anadolu que « la liberté économique est d’une importance capitale en matière des droits de l’Homme », relevant qu’elle a « le dernier mot dans la maison du moment qu’elle travaille et ramène son revenu ».
A son tour, Fetia Kemal (25 ans), qui travaille dans un parking a relevé les difficultés auxquelles elle fait face dans son travail qui peuvent s’avérer dangereuses par moment. Elle n’a pas manqué cependant d’exprimer sa joie de pouvoir accomplir cette tâche en tant que femme.
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