Monde
Azerbaïdjan : La passion pour les montres du « collectionneur du temps »
- L'azerbaïdjanais, Ramiz Aliyev, a collecté plus de 1000 montres à travers le monde.
Esma Ben Said |
30.01.2018 - Mıse À Jour : 30.01.2018
Turkey
AA - Bakou
Si les collections peuvent se décliner de mille façons, il n'en demeure pas moins que l'acquisition de ces objets devient, de manière énigmatique, une passion pour les collectionneurs.
C'est notamment le cas du collectionneur azerbaïdjanais, Ramiz Aliyev, habitant le village de Mastaga, dans la province de Bakou (Est).
Fils de réparateur d'horloges, Aliyev s'intéresse aux montres dès son plus jeune âge. Très vite, cet intérêt se transforme en une passion qui l'amène à collecter des montres en provenance du monde entier.
Aujourd'hui, il dispose d'une collection de plus de 1000 montres, de modèles et couleurs variés dont le modèle historique d’une montre datant des années 1800, des horloges de table et des horloges murales en passant par des horloges de poche ou encore des pendules sous globe de verre.
Le collectionneur se charge en personne de la réparation et de l'entretien des montres précieusement rangées dans une pièce de sa maison entièrement consacrée à sa collection.
Ce musée, où le temps s’égraine au son synchrone des horloges, n’a pour le moment été visité que par les voisins, les amis, la famille du collectionneur et enfin, un correspondant d'Anadolu.
En effet, Aliyev a ouvert ses portes à Anadolu et a confié que certaines de ses montres sont originaires d’Allemagne, France, Suisse, Russie, Japon, Etats-Unis et bien d'autres pays encore.
«Chaque horloge a un son qui lui est propre. Lorsque j'entends le son de la montre historique, je voyage vers le passé. A contrario, lorsque j'entends le son de la montre moderne, je reviens à notre époque. Je connais le mécanisme de chacune des montres. Ma collection sera un souvenir légué aux futures générations».
Enfin, Aliyev, le « collectionneur du temps », a fait savoir qu'il souhaite agrandir davantage sa collection et la transformer en un véritable musée de l'horlogerie.
Seulement une partie des dépêches, que l'Agence Anadolu diffuse à ses abonnés via le Système de Diffusion interne (HAS), est diffusée sur le site de l'AA, de manière résumée. Contactez-nous s'il vous plaît pour vous abonner.
Si les collections peuvent se décliner de mille façons, il n'en demeure pas moins que l'acquisition de ces objets devient, de manière énigmatique, une passion pour les collectionneurs.
C'est notamment le cas du collectionneur azerbaïdjanais, Ramiz Aliyev, habitant le village de Mastaga, dans la province de Bakou (Est).
Fils de réparateur d'horloges, Aliyev s'intéresse aux montres dès son plus jeune âge. Très vite, cet intérêt se transforme en une passion qui l'amène à collecter des montres en provenance du monde entier.
Aujourd'hui, il dispose d'une collection de plus de 1000 montres, de modèles et couleurs variés dont le modèle historique d’une montre datant des années 1800, des horloges de table et des horloges murales en passant par des horloges de poche ou encore des pendules sous globe de verre.
Le collectionneur se charge en personne de la réparation et de l'entretien des montres précieusement rangées dans une pièce de sa maison entièrement consacrée à sa collection.
Ce musée, où le temps s’égraine au son synchrone des horloges, n’a pour le moment été visité que par les voisins, les amis, la famille du collectionneur et enfin, un correspondant d'Anadolu.
En effet, Aliyev a ouvert ses portes à Anadolu et a confié que certaines de ses montres sont originaires d’Allemagne, France, Suisse, Russie, Japon, Etats-Unis et bien d'autres pays encore.
«Chaque horloge a un son qui lui est propre. Lorsque j'entends le son de la montre historique, je voyage vers le passé. A contrario, lorsque j'entends le son de la montre moderne, je reviens à notre époque. Je connais le mécanisme de chacune des montres. Ma collection sera un souvenir légué aux futures générations».
Enfin, Aliyev, le « collectionneur du temps », a fait savoir qu'il souhaite agrandir davantage sa collection et la transformer en un véritable musée de l'horlogerie.
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