Opération Source de Paix: Manipulations mensongères sur "L'utilisation d'armes chimiques interdites"

AA - Ankara

Les sympathisants de l'organisation terroriste YPG/PKK de cessent de propager des mensonges sur les réseaux sociaux au sujet de l'opération Source de Paix lancée par l'armée turque dans le Nord de la Syrie.

La Turquie a démarré, il y a maintenant plus d'une semaine, une opération militaire dans le Nord de la Syrie qui vise à éliminer les terroristes qui occupent cette région et y établir une zone de sécurité de manière à permettre aux réfugiés syriens d'y retourner.

Les pro-terroristes diffusent, depuis le début de l'opération, des informations calomnieuses sur l'opération, la dernière en date, l'utilisation par la Turquie d'armes interdites comme les explosifs chimiques et au phosphore.

La manipulation n'a pas prise, les médias ont relevé que les images diffusées par les sympathisants du terrorisme pour habiller leurs mensonges datent pour l'une, d'avril 2017 et a été prise après une attaque à l'arme chimique du régime d'al-Assad tandis qu'une autre date de mars 2018 et représente les attaques du régime contre la Ghouta Orientale.

Bien sûr, les pro-terroristes, présentent ces photos comme ayant été prise à Ra’s al-‘Ayn, dans le Nord de la Syrie.

Ces manipulateurs partagent des photos dans lesquelles les bombardements illuminent le ciel par les flammes, faisant croire qu’il s’agit de bombardements turcs dans le cadre de l’opération Source de Paix. Or, ces photos datent de juin 2016, elles avaient été prises à Alep.

Une autre photo montre des personnes gravement blessées après l’usage de bombes au phosphore.

Le portrait d’un enfant blessé, la tête en partie brulée, est aussi reprise par les partisans du PKK/YPG afin de manipuler l’opinion publique contre l’opération turque.

Mais la photo avait été prise en 2009 dans un hôpital d’une base militaire américaine en Afghanistan. De la même manière, une image d’un homme soigné dans un hôpital après un bombardement au phosphore, avait en réalité été prise en janvier 2009 à Gaza, après un bombardement israélien.

Le ministre turc de la Défense, Hulusi Akar, avait mis en garde, jeudi, contre des manipulations du PKK/YPG qui pourrait faire usage d’armes chimiques pour ensuite accuser l’Armée turque. Il a rappelé que l’Armée turque ne compte pas d’armes chimiques dans son inventaire.