Avec une somme ne dépassant pas les 56 dollars, Samira Abou Amra, une Palestinienne de 41 ans, s’arrange pour donner à manger à des dizaines de familles pauvres. Abou Amra qui habite au quartier d’al-Zaytoun, à l’est de la ville de Gaza, note qu’elle reçoit, deux fois par semaines, « de petites sommes » sous forme de dons, de la part de « bienfaiteurs » de l’étranger. Avec cet argent, elle prépare des repas pour des dizaines de familles nécessiteuses. « La nourriture est distribuée gratuitement aux pauvres du quartier, avec le soutien de personnes charitables de l’étranger », affirme-t-elle au correspondant d’Anadolu. ( Ali Jadallah - Anadolu Ajansı )
Avec une somme ne dépassant pas les 56 dollars, Samira Abou Amra, une Palestinienne de 41 ans, s’arrange pour donner à manger à des dizaines de familles pauvres. Abou Amra qui habite au quartier d’al-Zaytoun, à l’est de la ville de Gaza, note qu’elle reçoit, deux fois par semaines, « de petites sommes » sous forme de dons, de la part de « bienfaiteurs » de l’étranger. Avec cet argent, elle prépare des repas pour des dizaines de familles nécessiteuses. « La nourriture est distribuée gratuitement aux pauvres du quartier, avec le soutien de personnes charitables de l’étranger », affirme-t-elle au correspondant d’Anadolu. ( Ali Jadallah - Anadolu Ajansı )
Avec une somme ne dépassant pas les 56 dollars, Samira Abou Amra, une Palestinienne de 41 ans, s’arrange pour donner à manger à des dizaines de familles pauvres. Abou Amra qui habite au quartier d’al-Zaytoun, à l’est de la ville de Gaza, note qu’elle reçoit, deux fois par semaines, « de petites sommes » sous forme de dons, de la part de « bienfaiteurs » de l’étranger. Avec cet argent, elle prépare des repas pour des dizaines de familles nécessiteuses. « La nourriture est distribuée gratuitement aux pauvres du quartier, avec le soutien de personnes charitables de l’étranger », affirme-t-elle au correspondant d’Anadolu. ( Ali Jadallah - Anadolu Ajansı )
Avec une somme ne dépassant pas les 56 dollars, Samira Abou Amra, une Palestinienne de 41 ans, s’arrange pour donner à manger à des dizaines de familles pauvres. Abou Amra qui habite au quartier d’al-Zaytoun, à l’est de la ville de Gaza, note qu’elle reçoit, deux fois par semaines, « de petites sommes » sous forme de dons, de la part de « bienfaiteurs » de l’étranger. Avec cet argent, elle prépare des repas pour des dizaines de familles nécessiteuses. « La nourriture est distribuée gratuitement aux pauvres du quartier, avec le soutien de personnes charitables de l’étranger », affirme-t-elle au correspondant d’Anadolu. ( Ali Jadallah - Anadolu Ajansı )
Avec une somme ne dépassant pas les 56 dollars, Samira Abou Amra, une Palestinienne de 41 ans, s’arrange pour donner à manger à des dizaines de familles pauvres. Abou Amra qui habite au quartier d’al-Zaytoun, à l’est de la ville de Gaza, note qu’elle reçoit, deux fois par semaines, « de petites sommes » sous forme de dons, de la part de « bienfaiteurs » de l’étranger. Avec cet argent, elle prépare des repas pour des dizaines de familles nécessiteuses. « La nourriture est distribuée gratuitement aux pauvres du quartier, avec le soutien de personnes charitables de l’étranger », affirme-t-elle au correspondant d’Anadolu. ( Ali Jadallah - Anadolu Ajansı )
Avec une somme ne dépassant pas les 56 dollars, Samira Abou Amra, une Palestinienne de 41 ans, s’arrange pour donner à manger à des dizaines de familles pauvres. Abou Amra qui habite au quartier d’al-Zaytoun, à l’est de la ville de Gaza, note qu’elle reçoit, deux fois par semaines, « de petites sommes » sous forme de dons, de la part de « bienfaiteurs » de l’étranger. Avec cet argent, elle prépare des repas pour des dizaines de familles nécessiteuses. « La nourriture est distribuée gratuitement aux pauvres du quartier, avec le soutien de personnes charitables de l’étranger », affirme-t-elle au correspondant d’Anadolu. ( Ali Jadallah - Anadolu Ajansı )
Avec une somme ne dépassant pas les 56 dollars, Samira Abou Amra, une Palestinienne de 41 ans, s’arrange pour donner à manger à des dizaines de familles pauvres. Abou Amra qui habite au quartier d’al-Zaytoun, à l’est de la ville de Gaza, note qu’elle reçoit, deux fois par semaines, « de petites sommes » sous forme de dons, de la part de « bienfaiteurs » de l’étranger. Avec cet argent, elle prépare des repas pour des dizaines de familles nécessiteuses. « La nourriture est distribuée gratuitement aux pauvres du quartier, avec le soutien de personnes charitables de l’étranger », affirme-t-elle au correspondant d’Anadolu. ( Ali Jadallah - Anadolu Ajansı )
Avec une somme ne dépassant pas les 56 dollars, Samira Abou Amra, une Palestinienne de 41 ans, s’arrange pour donner à manger à des dizaines de familles pauvres. Abou Amra qui habite au quartier d’al-Zaytoun, à l’est de la ville de Gaza, note qu’elle reçoit, deux fois par semaines, « de petites sommes » sous forme de dons, de la part de « bienfaiteurs » de l’étranger. Avec cet argent, elle prépare des repas pour des dizaines de familles nécessiteuses. « La nourriture est distribuée gratuitement aux pauvres du quartier, avec le soutien de personnes charitables de l’étranger », affirme-t-elle au correspondant d’Anadolu. ( Ali Jadallah - Anadolu Ajansı )
Avec une somme ne dépassant pas les 56 dollars, Samira Abou Amra, une Palestinienne de 41 ans, s’arrange pour donner à manger à des dizaines de familles pauvres. Abou Amra qui habite au quartier d’al-Zaytoun, à l’est de la ville de Gaza, note qu’elle reçoit, deux fois par semaines, « de petites sommes » sous forme de dons, de la part de « bienfaiteurs » de l’étranger. Avec cet argent, elle prépare des repas pour des dizaines de familles nécessiteuses. « La nourriture est distribuée gratuitement aux pauvres du quartier, avec le soutien de personnes charitables de l’étranger », affirme-t-elle au correspondant d’Anadolu. ( Ali Jadallah - Anadolu Ajansı )
Avec une somme ne dépassant pas les 56 dollars, Samira Abou Amra, une Palestinienne de 41 ans, s’arrange pour donner à manger à des dizaines de familles pauvres. Abou Amra qui habite au quartier d’al-Zaytoun, à l’est de la ville de Gaza, note qu’elle reçoit, deux fois par semaines, « de petites sommes » sous forme de dons, de la part de « bienfaiteurs » de l’étranger. Avec cet argent, elle prépare des repas pour des dizaines de familles nécessiteuses. « La nourriture est distribuée gratuitement aux pauvres du quartier, avec le soutien de personnes charitables de l’étranger », affirme-t-elle au correspondant d’Anadolu. ( Ali Jadallah - Anadolu Ajansı )
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